Les îles oubliées au cœur des Antilles

Curaco, le paradis des caraibes

Les Caraïbes, ce n’est pas que les tempêtes, les ouragans et les phénomènes météorologiques les plus puissants du monde, c’est aussi un endroit de rêve. On connaît les grandes îles comme Cuba ou la Martinique, mais il reste encore des endroits préservés qui ont échappé, au moins en partie, à l’invasion du tourisme de masse.

Curaçao, aussi méconnue que paradisiaque.

L’île de Curaçao est méconnue par le grand public. Elle est pourtant en train de devenir la “place to be” dans les petites Antilles. Le tourisme de l’ultra-luxe se développe de plus en plus. Ce petit pays est bien connu pour les spécialistes de la finance, des jeux en ligne et des globes trotteurs. Loin des tempêtes et des ouragans, nous allons visiter l’île des corsaires hollandais du XIXe siècle qui est devenue le paradis presque secret des milliardaires du monde entier. On ne vient pas à Curaçao si on est allergique au soleil. Une température moyenne de 30 degrés tous les mois de l’année, la mer des caraïbes à 27 degrés, trois mois de pluie relativement calme par rapport à d’autres endroits des Antilles. Le climat est agréable, et même la saison des pluies est douce. C’est aussi le paradis des casinos en ligne. C’est une des originalités de ce petit pays ! Le Curaçao est doté d’une Autorité de régulation de jeux en ligne réputée dans le monde entier. Elle octroie des licences aux créateurs de casino, de salle poker, mais des bookmakers en ligne. Selon Gamblersbet.com/fr, c’est une des licences de jeu en ligne les plus prisées et les plus réputées du monde des jeux d’argent en ligne.

Saint-Vincent-et-les-Grenadines pour prendre le temps

C’est une île sublime et totalement préservée. Saint-Vincent et ses îles Grenadines sont constitués d’une île principale et d’une chaîne d’île plus petite et sauvage. C’est le rendez-vous des sportifs et des voyageurs qui aiment prendre le temps de se perdre. Il est vrai que rien que le nom peut faire rêver. La principale activée est le tourisme, mais les prix permettent d’éviter le déferlement de charter. Comme beaucoup de pays des caraïbes, on immatricule beaucoup plus de bateaux marchand qu’il y a d’habitants, ce qui en fait un acteur important des pavillons de complaisance. Pour le reste, on peut voir des plages désertes d’un sable noir typique des îles volcaniques. La Soufrière, le volcan de l’île, est majestueux, mais ne s’offre pas à tout le monde. La jungle est luxuriante. Le plaisir de ces îles, c’est de prendre un bateau de pêche d’aller les visiter. Chacune est particulière..

Les îles Turques-et-Caïques ou les îles Turquoises

On parle ici d’un archipel d’île. Il y en a 40 ! On peut évoquer sans doute le paradis perdu dans ces îles préservées où les touristes sont plus des voyageurs ou des plongeurs en quête des plus beaux spots de plongées des caraïbes. Et même là, il n’y a pas foule. C’est pourtant une barrière de corail de 23 kilomètres sur la rive nord de Provo et un mur sous-marin de 2 134 mètres au large de l’île de Grand Turk qui est un des endroits à faire quand on est plongeur. Les activités sportives attirent les voyageurs, mais ici aussi, les sociétés offshores trouvent un écrin accueillant. Au niveau du climat, la température moyenne est de 29 degrés. La saison de pluie est courte, entre octobre et décembre, avec six jours de pluie cumulés par mois. Rien de bien grave, non?

Haiti, loin du rêve, prés des gens

Voyager à Haïti n’est pas du tout une sinécure. L’île est pauvre et le tremblement de terre de 2010 n’a toujours pas été effacé. Ici, pas de complexes gigantesques comme sur les îles vierges américaines, mais une culture unique et une vie foisonnante. On pourrait parler d’un voyage en réalité, loin des autres îles où la pauvreté est souvent cachée loin des hôtels. Haïti est une destination pour baroudeurs qui ont le cœur bien accroché et qui savent regarder sans juger. Pauvre, mais fier, les Haïtiens sont un peuple très accueillant. La culture culinaire, religieuse et historique reste le point fort d’un voyage qui sera inoubliable, non pas à cause de votre collection de selfies, mais parce qu’il aura sans doute changé votre regard sur le monde. Un vrai voyage en somme.

Les Antilles et les petites caraïbes jouissent d’un climat et d’un paysage qui fait rêver le monde entier. Le monde oublie un peu vite les ouragans de plus en plus violents et destructeurs comme celui a quasiment détruit l’île de Saint-Martin. La carte postale idyllique peut se transformer en véritable enfer. Il convient donc d’éviter les saisons à risques. On a pour habitude de parler de mai à novembre pour évoquer de la saison des ouragans… Si vous comptez venir nous voir en hors saison, soyez prudent !